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 La science face aux animaux mythiques

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MessageSujet: La science face aux animaux mythiques   La science face aux animaux mythiques EmptyMar 8 Aoû 2006 - 18:17

La science face aux animaux mythiques


Ces créatures sont mystérieuses et célèbres, car introuvables : des hommes ne cessent de partir à leur recherche, en vain. Quels sont les stratagèmes mis en œuvre pour tenter de les découvrir, et que dit la science ?


à suivre
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MessageSujet: Re: La science face aux animaux mythiques   La science face aux animaux mythiques EmptyMar 8 Aoû 2006 - 18:21

Les Yétis


La science face aux animaux mythiques Extra003


L'abominable homme des neiges est la plus célèbre des créatures mystérieuses. Qui est le yéti ? Ou plutôt les yétis. Car les hommes en recensent trois différents. La science, elle, n'en reconnaît aucun.

Tout le monde a déjà entendu parler du Yéti. Ou plutôt des yétis. Car d'après les témoignages de ceux qui l'ont vu, on en recense trois types différents. Un grand yéti, à toison brune qui ressemblerait à un ours noir du Népal, et qui habiterait le sud de la Chine, le Tibet et le Népal. Un petit yéti, vivant essentiellement au Népal, qui serait un animal à l'aspect simiesque, proche de l'orang-outan. Et enfin un homme sauvage, appartenant au genre Homo, qui se trouverait sur une vaste partie de l'Asie.

Trois créatures distinctes
Qui seraient-ils ? Le grand yéti pourrait être un ours himalayen ou tibétain qui se serait aventuré dans les forêts et les plus hauts pâturages himalayens et qui se serait adapté à un environnement alpin. Seulement, l'ours est incapable d'adopter une démarche bipède sur plusieurs centaines de mètres comme le laissent supposer les traces laissées sur la neige par ce que l'on croit être cette créature. La présence d'un gros orteil sur le côté intérieur des empreintes écarte aussi l'hypothèse de l'ours.

Le second yéti, le plus décrit, serait un singe anthropoïde encore inconnu, semi-bipède et apparenté à l'orang-outan de Sumatra et Bornéo. Une sorte d'orang-outan terrestre. De nombreux témoins semblent en effet rapprocher le yéti de l'orang-outan lorsqu'ils examinent les photos de primates qu'on leur montre. Ce yéti, créature humanoïde, posséderait une fourrure rousse, et mesurerait entre 1,40 et 1,70 m. Il aurait la tête pointue, de longs bras et se déplacerait à 4 pattes sauf pour traverser des étendues enneigées où il se redresserait pour éviter de se mouiller. C'est à la lisière des forêts qu'il aurait été observé le plus souvent.

Enfin, le troisième yéti, l'homme sauvage, serait une créature plus proche de l'humain. Certains croient même qu'il s'agit de quelques survivants Néandertaliens retirés dans les habitats les plus inaccessibles de l'Himalaya !

Les indices
Dans les légendes, le yéti existe, c'est certain, mais dans la réalité ? Comme traces de son éventuelle existence, il faudra se contenter de témoignages, d'empreintes de pas dans la neige, de touffes de poil, et d'une main momifiée. Certains poils sont en cours d'analyse, et les avis divergent sur l'origine de la main momifiée.

Quant aux empreintes relevées dans la neige, parfois sur plusieurs centaines de mètres et attestant d'une démarche bipède, elles font débat. Les experts ne s'entendent pas car les détracteurs du yeti estiment que ces traces pourraient être celles d'un ours déformées par la fonte de la neige.

De plus, les montagnes de l'Himalaya sont sillonnées depuis plusieurs décennies par de nombreuses expéditions, alors que les témoignages restent peu nombreux et toujours fragmentaires. Néanmoins, ceux qui y croient expliquent que le yeti peut difficilement être aperçu parce qu'il vit dans les coins les plus reculés et les plus sauvages de l'Himalaya où peu d'hommes osent s'aventurer.

Animal fuyant ou thème folklorique ?
Légende ou réalité ? Des scientifiques émérites, comme Yves Coppens, professeur au Collège de France, gardent l'esprit ouvert. Il est vrai que nous connaissons aujourd'hui des animaux dont nous ignorions totalement l'existence il y a quelques dizaines d'années. Rien ne s'oppose à l'existence d'un singe qui aurait survécu en petites bandes dans des endroits très reculés. Mais cela reste à démontrer. Certains scientifiques ont avancé qu'il pourrait s'agir de descendants du Gigantopithèque, un singe qui aurait vécu en Asie il y a 5 millions d'années, dont on croyait la race éteinte il y a 100 000 ans.

Pour l'ethnologue Marc Gaborieau "le yéti est un thème folklorique récurrent, inventé par les Sherpas. C'est l'équivalent du loup garou ou du monstre du loch Ness. On en entend beaucoup parler mais personne n'a jamais rencontré un témoin direct". Le chuti des sherpas, le meh-teh des Tibétains, le migoï des Bhoutanais ou le tedmo des Zanskaris seraient pour l'ethnologue des mots différents traduisant une même légende... Vivant dans un environnement gigantesque, parfois hostile, les hommes auraient intégré le yéti dans leur univers mental. Auraient-ils trouvé dans cette créature une explication à certains événements mystérieux ?

"Rien ne s'oppose à l'existence d'un singe qui aurait survécu en petites bandes dans des endroits très reculés"
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MessageSujet: Bigfoot   La science face aux animaux mythiques EmptyMar 8 Aoû 2006 - 18:27

Bigfoot


La science face aux animaux mythiques Bigfoot

On l'appelle Sasquatch au Canada et Bigfoot aux Etats-Unis. Mi homme, mi singe, ce géant vivrait dans les forêts, effrayant les promeneurs qui le croisent. Les témoignages et indices de son existence sont nombreux, mais les preuves authentifiées manquent.

On l'appelle Sasquatch au Canada et Bigfoot aux Etats-Unis. Il vivrait dans les forêts, sur l'ensemble des Etats-Unis.

Un gros "homme-singe"
Les premiers rapports concernant cette créature nous parviennent du début du 19e siècle. Les explorateurs visitant l'ouest du continent américain entendent parler par les tribus indiennes de géants qui peuplent les montagnes et les bois. Il s'agirait de créatures bipèdes, assez grandes, de plus de 2,50 m, et assez costaudes, aux épaules carrées. Et pesant 300 et 400 kg, d'après les empreintes de pieds qui peuvent s'enfoncer jusqu'à 5cm dans le sol. Elles seraient agiles, nocturnes et très rapides. Leur allure générale rappellerait celle d'un être humain : c'est ce qui donne leur côté mystérieux.

Bigfoot serait le seul primate de l'Amérique de nord (avec l'homme). Certains témoins affirment avoir vu plusieurs fois des Sasquatch tuer des cerfs, mais omnivore, il se nourrirait de tout, comme l'ours. Il pousserait également toute une série de cris, allant du puissant hurlement aux grognements.

Une vidéo, des traces, des cris, mais pas de preuve
Le phénomène Bigfoot a pris beaucoup d'ampleur en 1967 grâce à la vidéo de Patterson et Gimlin. Cette vidéo de 1 minute montrant un bigfoot est la plus claire et la plus précise que nous connaissions. Filmé à environ une distance de 30 mètres, le document dévoile un bigfoot de 2,10 m se déplacant à proximité d'un ruisseau et finissant par disparaître dans les fourrés. Cependant son authenticité est contestée. Mais aucune analyse n'est parvenue à démontrer qu'il s'agissait d'un canular.

Eric Joye est un naturaliste de terrain passionné de cryptozoologie. Pour traquer le Bigfoot, il est parti deux fois en expédition au Texas, et compte y retourner bientôt. "J' y ai vu ces fameuses empreintes, ainsi que des zones contenant des huttes rudimentaires, certainement réalisées par des Bigfoot, beaucoup trop grossières pour avoir été construites par des hommes. De plus, deux des membres de l'expédition ont aperçu pour l'une, la face et les mains d'un Bigfoot, pour l'autre, l'ombre d'une créature aux larges épaules. Il y a aussi un chien qui en est devenu terrorisé."

D'autres expéditions ont tenté d'attirer ces énigmatiques individus en répandant des phéromones de gorille, d'humain et d'orang-outang. Ou bien en émettant son cri présumé. Les cris auraient obtenu des réponses. Il existe des milliers d'empreintes de pas de ce même animal observées et relevées à travers toute l'Amérique du Nord depuis 2 siècles, ce qui rend difficilement admissible l'hypothèse d'un canular. Bref, les témoignages, directs ou indirects ne manquent pas, tout comme les indices.

Qui alors ?
Mais qui serait cet individu ? Pour certains, un descendant du gigantopithèque, un hominidé de plus de 2,50 m ayant vécu il a 5 millions d'années et s'étant officiellement éteint il y a 100 000 ans. Pour d'autres, ce serait un descendant d'Homo erectus. Enfin, pour Eric Joye, ce serait plutôt une créature plus proche des hommes, aux comportements aussi simiens qu'humains.

Cependant, la communauté scientifique, elle, reste sceptique. Comment en effet croire à une créature jamais clairement identifiée ? On n'en a retrouvé ni cadavre, ni ossement. De plus, si cette créature sait construire des huttes, et utiliser des bâtons pour pêcher, des branches pour creuser le sol, pourquoi n'aurions nous jamais retrouvé de restes, de traces ? Où s'arrête la légende et où commence la réalité ?

"Des milliers d'empreintes de cet animal ont été relevées à travers l'Amérique du Nord depuis 2 siècles, ce qui rend l'hypothèse d'un canular peu plausible ."


Dernière édition par le Mar 8 Aoû 2006 - 18:35, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: La science face aux animaux mythiques   La science face aux animaux mythiques EmptyMar 8 Aoû 2006 - 18:33

Nessie et les autres


La science face aux animaux mythiques Nessie

Les créatures défiant les zoologistes n'ont pas toutes ressemblance humaine. On en répertorie par exemple dans certains lacs, comme le fameux loch Ness. Mais on ne les trouve pas.

Les lacs aussi semblent peuplés de bêtes introuvables. Le plus connu étant le loch Ness, où vivrait un monstre appelé Nessie.

Un monstre ? Certainement pas un reptile marin datant de l'époque des dinosaures. Pourtant, en 1934 en effet, des clichés montrant une sorte de plésiosaure au cou hors de l'eau ont posé une image sur la créature mystérieuse. Or, les dinosaures ont disparus depuis plus de 60 000 millions d'années ! Un serpent d'eau alors ? Impossible, le lac est trop froid. Un peu moins de 10 expéditions ont sondé le lac, pour aucun résultat. Nessie ne serait qu'une légende ?

Le loch Ness n'est pas le seul lac abritant une créature inconnue, même s'il s'agit du plus célèbre. Dans le monde, on en recense plusieurs dizaines. Il s'agit toujours de lacs froids d'origine glaciaire, alimentés par la fonte des neiges (Suède, Norvège, Ecosse, Canada, Argentine, Chili…). Dans tous les lacs "habités", les témoignages décrivent pour la plupart des créatures assez semblables.

Une expédition, et des grognements
Eric Joye, un naturaliste, est parti 3 fois au lac Seljord, en Norvège, avec l'association suédoise Gust. L'y accompagnaient des hydrologues, des spécialistes de la faune et des journalistes.

Pourquoi ce lac ? Depuis 1750, plus d'une centaine de témoignages racontent qu'une bête mystérieuse y séjourne. Plus petit que le loch Ness (156 m de profondeur, 20 km de long, contre 260 m de profondeur et 38 km de long), il est aussi peu fréquenté.

Equipés d'un sonar, d'un robot sous marin et d'hydrophones, l'équipe d'Eric Joye sonde le dit lac. Des plongeurs tentent également de l'explorer, mais hélas, les eaux sont noires, donc impossible d'y voir quoi que ce soit. L'un des membres de l'expédition réussira à filmer une sorte de masse sombre, nageant entre deux eaux, créature à la taille assez imposante.

Les hydrophones, recueillent des bruits, sortes de grognements réguliers. Soumis à l'expertise de 15 scientifiques, ces sons ne semblent ni géologiques, ni d'origine mécaniques, mais ressemblent à des grognements de mammifères, tels le phoque ou l'otarie, bien que deux à trois fois plus puissants. Un filet jeté dans le lac pour tenter de capturer la bête ne donnera rien.

Il s'agirait donc de sortes de phoques ou d'otaries ? Pas impossible car on connaît en effet au moins un lac, le lac Baïkal, d'eau douce, qui abrite de tels mammifères. De plus, l'écosystème complet des lacs "habités" permettrait cette survie : ils contiennent plancton et poissons, de quoi boucler une chaîne alimentaire.

La preuve toujours manquante
Mais, si les créatures s'avèrent être des mammifères, elles doivent sortir respirer, et on devrait les voir ! Surtout si elles sont nombreuses ( pour qu'une population survivedans le loch Ness, il faudrait qu'elle soit constituée de 20 à 50 individus). Certes une tête de phoque au ras de l'eau est difficile à voir, mais quand on sait à quel point le lac Ness est scruté, on imagine mal qu'un mammifère venant à la surface passe inaperçu, même au milieu des vagues.

La communauté scientifique pour le moment ne reconnaît l'existence d'aucun de ces animaux marins. Il faut dire aussi que de nombreux cas de fraude (cliché de 1934 montrant un cou hors de l'eau, pattes d'hippopotame…) évoquant des monstres ont refroidi de nombreux scientifiques. Mais là encore, les cryptozoologues ne désespèrent pas.

"Quand on sait à quel point le loch Ness est scruté, on imagine mal qu'un mammifère venant à la surface passe inaperçu"
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MessageSujet: Le suceur de chèvres   La science face aux animaux mythiques EmptyMar 8 Aoû 2006 - 18:39

Le suceur de chèvres


[pas d'image actuellement]

Il y a les créatures qui intriguent et qu'on rêverait de croiser, et celles, au contraire, qu'on préfèrerait ne jamais rencontrer. Tel est le cas de El Chupacabra, littéralement "le suceur de chèvres".

Qui est vraiment le Chupacabra ? Depuis les années 70, cette mystérieuse créature a fait son apparition sur l'île de Porto Rico, dans les Caraïbes, puis en Amérique du Sud. Elle aurait tué des milliers d'animaux (vaches, moutons, chèvres, etc.) après les avoir au préalable vidés de leur sang et autres fluides vitaux.

Les animaux mutilés sont retrouvés avec de petits trous parfaitement circulaires (variant de 0,6 cm à 1,25 cm) et pénétrant profondément dans le cou, juste sous la mâchoire de l'animal. Dans la majorité des cas, ces trous arrivent dans la tête de l'animal, et plus précisément jusqu'au cervelet, le perforant et tuant donc immédiatement l'animal. Ces détails semblent donc indiquer une technique évitant toute souffrance à l'animal durant sa mise à mort, ce qui implique également une certaine intelligence de l'attaquant.

Créature, coyote ou canular ?
Qui sont ces suceurs de chèvres ? Les autorités de Puerto Rico maintiennent que ces morts d'animaux ont été perpétrées par des groupes de chiens errants, des coyotes ou par des panthères illégalement introduites dans l'île. Impossible, selon scientifiques et médecins. En effet, aucun prédateur connu sur Terre utilise de telles méthodes pour la mise à mort de ses victimes.

Quelqu'un aurait aussi pu commettre un canular à l'égard du peuple portoricain et lancer la légende. Si tel est le cas, il s'agit d'une organisation avec de lourds moyens.

Quoi qu'il en soit, de nombreux observateurs déclarent avoir aperçu le chupacabra. La créature a de quoi donner froid dans le dos : tête ovale, mâchoire proéminente, deux gros yeux rouges, de petits trous pour les narines, une petite bouche en forme de fente avec des crocs saillants vers le haut et vers le bas. Couverte de poils noirs, elle possèderait deux petits bras, avec des mains à trois doigts, terminés par des griffes, ainsi que deux fortes jambes à trois griffes. De plus, cette créature se déplacerait avec une excellente aisance et habilité.

Une manne pour l'économie
La récupération commerciale n'a pas tardé, contribuant sans doute à amplifier le phénomène Chupacabra. Véritable fait de société sur l'île, occupant les esprits, les discussions, les journaux et même les tee-shirts, le Chupacabra reste pourtant un animal inconnu de la science. D'ailleurs de nombreuses personnes ont tenté de la capturer et de nombreuses battues ont eu lieu, sans succès...

Pour le moment, on ne peut que faire des suppositions quant à l'origine de ces mutilations animales. Est-ce l'oeuvre du Chupacabra ? Ou cette créature n'est-elle qu'une légende prise trop au sérieux ?

"Quelqu'un aurait pu commettre un canular à l'égard du peuple portoricain et lancer la légende"
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MessageSujet: Re: La science face aux animaux mythiques   La science face aux animaux mythiques EmptyMar 8 Aoû 2006 - 18:44

Des animaux mythiques, les légendes et les mémoires collectives en regorgent. Quelques mots sur la cryptozoologie, la discipline qui les étudie.


» La cryptozoologie, souvent considérée comme une pseudoscience, consiste en l'étude d'animaux dont l'existence même est sujette à caution, ou des animaux supposés éteints, mais également des animaux totalement inconnus.

» Effectivement, on peut encore découvrir de nouvelles espèces animales de nos jours : l'inventaire faunistique de la planète est loin d'être achevé : on a déjà répertorié environ 1 500 000 espèces animales, dont près d'un million d'espèces d'insectes, certes, mais chaque année on en décrit plusieurs milliers de nouvelles.

Ce sont surtout des invertébrés de petite taille, mais pas seulement... Parmi les espèces vivantes décrites au XXè siècle, on trouve notamment l'okapi, le varan de Komodo, ou le bonobo.


L'ornithorynque et le coelacanthe
» Certes des animaux "inattendus" existent bel et bien. L'ornithorynque, par exemple, un mammifère qui pond des oeufs et qui allaite ses petits, semble tout droit sorti d'un mythe ! Ou encore le cœlacanthe, un poisson qui a peu évolué depuis plus de 300 millions d'années !

» Cependant, aucune des créatures décrites dans ce dossier n'est répertoriée dans la faune terrestre. A l'heure actuelle, le Yéti, Bigfoot, le monstre du Loch ness et le Chupacabra restent des animaux légendaires pour les scientifiques.
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